La pêche, la chasse aux oiseaux migrateurs (oie, outarde…) et la cueillette de fruits sauvages leur fournissent une alimentation abondante et variée. À la fin de l'automne, les Algonquiens se dirigent vers leurs territoires de chasse, à l'intérieur des terres. Comme les ressources y sont moins nombreuses et plus dispersées, ils se subdivisent en petites bandes de chasse, qui comptent entre 10 et 20 personnes. Durant l'hiver, leur survie dépend principalement de la chasse au gros gibier, comme l'orignal et le caribou.
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